Avant « La vie est belle » de Julia Roberts , il y a eu La vie est belle de Roberto Benigni (La vita e bella, 1997). Mais bien avant cela, il y a eu encore La vie est belle de Franck Capra (It’s a wonderfull life, 1946). Le pitch : un homme a passé sa vie à penser aux autres et faire le bien autour de lui – c’est un homme « vertueux ». Résultat : il est malheureux, ou du moins, il croit l’être. Alors, le « Ciel » lui envoie un ange gardien pour qu’il soit récompensé de ses bonnes actions et trouve enfin le bonheur qu’il mérite. Un classique, un chef-d’œuvre, même qui, sous ses allures de film de Noël pose le problème du lien entre bonheur et vertu.